Francis RIEHL
Né en 1950 en Alsace.
S’inscrivant dans un courant de figuration contemporaine, il s’inspire directement de la nature et de sites existants qu’il recompose, simplifie ou modifie. Il aime la couleur et la vie. Ce qui l'amène souvent à peindre des paysages optimistes, des lieux où l'on a envie d'aller, des moments de bonheur, des bouffées d'air pur et d'espace. Il peint essentiellement des paysages qui l’habitent, qu’ils existent ou non. On ne peut dissocier l’homme de l’œuvre tant ses motifs, sa touche, son écriture, ses couleurs et ses ambiances sont révélateurs de sa sensibilité.
Après des études classiques, il entre dans l’enseignement, tout en s’adonnant à la peinture. Autodidacte, il est influencé par les grands maîtres, essentiellement Corot pour la lumière et Van Gogh pour les couleurs et la matière. A trente ans il découvre les Alpilles dans leur lumière. Les couleurs assourdies du Nord-Est s’éclaircissent, les contrastes s’accentuent. S’inscrivant dans un courant de figuration contemporaine, il s’inspire directement de la nature et de sites existants qu’il recompose, simplifie ou modifie.
Comme chaque peintre, il a ses thèmes, ses motifs préférés. Il aime la couleur et la vie .Ce qui l’amène souvent à peindre des paysages optimistes, des lieux ou l’on a envie d’aller, des moments de bonheur, des bouffées d’air pur et d’espace. Il peint essentiellement des paysages qui l’habitent , qu’ils existent ou non. La plupart du temps ,il compose à partir d’élément réels et concrets, un chemin, une ferme, un village, un bosquet…
« Les couleurs que mon père faisait pousser sur un hectare de mauvaise terre valent bien toutes les écoles de peinture de l’univers. Le coloriste est né du regard qu’enfant je posais sur l’œuvre végétale ».
On ne peut dissocier l’homme de l’œuvre tant ses motifs, sa touche, son écriture, ses couleurs et ses ambiances sont révélateurs de sa sensibilité. Souvent sa vie se confond avec son art et son art l’aide à construire sa vie.
Pour lui la peinture est devenue sa passion. Il peint autant avec son cœur qu’avec ses tripes. Il dit : « alors si ma peinture pouvait en plus procurer du bonheur à celui qui la regarde, je serais à ce moment là un peintre comblé.»